Alec et Enzo

J'étais assis sur une balançoire toute rouillée, je tenais mon arme prêt à tirer au moindre zombie. Je me balançais légèrement et me surpris à repenser à ma famille.

J'étais blesser et cherchais des soins. Je traîner ma jambe derrière moi. Je me déplacer difficilement.

Je regardais devant moi. Plus loin je vis une silhouette. Elle marchait étrangement et lentement, comme un zombie. Je me levais de la balançoire et allais me cacher derrière un buisson en attendant qu'il s'approche pour lui exploser la tête.

Je continuer de marcher et fini par m'assoir sur un banc. Je fouilla dans mon sac pour essayé de trouvé de quoi me soigner.

Il n'avançait plus, il s'assis sur un banc. J'avançais vers lui mon arme chargé prêt à tirer. J'avançais doucement en faisant le moins de bruit possible

Je le remarqua. Comme j'avais la capacité de m'adapter a la situation ma peau deviens pierre. Je ressemblais à une statut l'ais je bouger.

j'arrivais juste devant lui et le vis bouger. Je braquais un peu plus mon arme et visais. je rêvais ou il venait de se changer en pierre.

Je le regardais et lui dit
- Vas y tire

-je tire que sur les zombies ! et de toute évidence, tu n'en es pas un.

Je repris forme normal
- Je suis juste blesser effectivement

je le regardais redevenir normal. Mon père m'avait bien parlé des mutants une fois mais jamais j'en avais vu en vrai. C'était étrange. Limite effrayant. Mais ça restait un humain .. enfin presque.

-Comment tu t'es fait ça ?

je désignais sa jambe

- Quelqu'un m'a pris un zombie et ma tiré dessus je me suis enfui comme j'ai pus

-je t'avais pris pour un zombie vu comment tu marchais.

Je regardais sa jambe qui saignait assez fort.

-il faut que tu fasse un garot et que tu ailles te faire soigner

- Je dois avoir quelque chose mais je trouve pas

-quelque chose?

- J'ai toujours de quoi me soigne mais j'ai l'impression que cette fois non

-j'ai rien sur moi non plus mais attends.

je pris la lanière de ma mitraillette qui me permettait de la tenir à l'épaule. Je l'enlevais et la lui attachais à sa jambe au dessus de sa blessure. Je serrais assez fort.

-Il faut que tu desserre un peu toute les vingts minutes. ça devrait faire l'affaire jusqu'à ce que tu ais de quoi mieux te soigner.

Je le laissa faire
- Merci

-de rien, c'est normal. dis-je d'un ton neutre.

- Je te revaudrais ça

-pas la peine. Occupe toi de ta survie avant de penser à me revaudre ça

- Je suis né pour survivre c'est bon

-personne n'est né pour survivre. Il faut juste s'adapter

- Justement je m'adapte à la situation

-en te transformant en ... statue ?